
Vamos al grano que es lo que interesa.
Los hechos ocurren el dia del partido FCGB-ST. Etienne. Un joven es detenido en virage sud acusado quemar una bengala. Todo indica que el chaval no ha sido el responsable de este acto y la gente con peso en la virage, concretamente el presidente de la asociación Ultramarines, comienza a hablar con la policia para calmar los animos y para que suelten al chaval. Cuando todo está mas o menos arreglado y parece que resuelto, otro joven le agrede de un puñetzao al madero que estaba hablando con el "presi" dejandole totalmente K.O. El joven se dio a la fuga.Al dia siguiente el "presi" es detenido por la policia acusado de ser el autor de la agresión, increible pero cierto. Menos mal que estaba intentando arreglar las cosas de manera dialogada y poner algo de cordura. El castigo ya os lo imaginais minimo IDS durante una larga temporada y si no es mas ya que las acusaciones eran bastante serias. Durante el juicio parace ser que el joven agresor ha enviado una carta autoinculpandose por la agresión y la fiscalia ha abierto una investigación para aclarar los hechos. A grandes rasgos esta es la historia seguro que con mas matices. Esto demuestra que la policia es una incompetente y se detiene a la gente por la puta cara sin contrastar ninguna prueba, ni testigos, ni pollas vamos que han ido a por el blanco mas facil.

A continuación os reproducimos integramente el articulo sobre el asunto aparecido en el SUD OUEST.
Que s'est-il exactement passé le 24 janvier dernier entre un ancien président des Ultramarines et un lieutenant de police de l'unité d'ordre public chargé des relations avec les supporteurs dans l'enceinte du stade Chaban-Delmas (lire « Sud-Ouest » d'hier) ? Une information judiciaire a été ouverte par le parquet et un juge d'instruction désigné qui a confié l'enquête à la brigade des violences de la Sûreté départementale. Les investigations sont en cours. Deux thèses s'affrontent depuis la première heure. L'Ultra, figure connue du virage sud, nie avoir porté un coup au policier lors d'un mouvement de foule lié à l'interpellation d'un adolescent, soupçonné d'avoir allumé un fumigène lors du match Girondins-Saint-Étienne.
« Deux thèses s'affrontent depuis la première heure »
L'officier, frappé par derrière à l'oreille, a eu un tympan perforé. La scène n'a pas eu de témoin, à l'exception d'un policier qui a formellement identifié l'auteur du geste et a désigné l'ancien président, le lendemain, lors d'un tapissage, au commissariat central.
À l'issue de la garde à vue, l'ancien président des Ultras a été déféré au tribunal correctionnel de Bordeaux mais, à l'ouverture du procès dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate, un jeune supporteur, Dimitri Cauvacis, a produit une lettre, s'accusant d'être l'agresseur du policier. Le tribunal a donc décidé d'ordonner un complément d'information et a renvoyé l'affaire.
La loi Alliot-Marie. « Notre homme n'est ni un martyre, ni une blanche colombe. Il n'est d'ailleurs pas inconnu de nos services », souligne le contrôleur général Albert Doutre, directeur départemental de la sécurité publique de la Gironde. « La personne qui se dénonce au bout de 48 heures est hébergée chez lui, c'est assez curieux, non ? Et pourquoi ne l'a-t-elle pas fait avant ? », s'interroge le patron des policiers qui « salue le travail effectué en partenariat avec le club des Girondins pour mener une lutte radicale et sans relâche contre l'entrée des fumigènes dans le stade ».Albert Doutre s'en tient à l'application des textes et rappelle que « le positionnement de la police restera strict car c'est la loi ».Les supporteurs ont, en effet, des droits, mais aussi des devoirs. La loi Alliot-Marie du 6 décembre 1993, relative à la sécurité des manifestations sportives, stipule dans son article 42-8 que « l'introduction de fusées ou artifices de toute nature ainsi que l'introduction sans motif légitime de tous objets susceptibles de constituer une arme dans une enceinte sportive lors du déroulement d'une manifestation sportive est interdite. Quiconque aura tenté ou enfreint l'une ou l'autre de ces interdictions sera puni d'une amende de 15 000 euros et/ou de 3 ans d'emprisonnement ».
« Un lieu de fête ». David Lafarge, directeur de la sécurité aux Girondins de Bordeaux, connaît très bien l'Ultra dont il est question, « qui est un emblématique chez les supporteurs ».Le 24 janvier, à la mi-temps de la rencontre, il a assisté à la discussion entre l'ancien président des Ultras et le lieutenant de police. Mais il tient à observer « une totale neutralité dans une affaire en cours devant la justice ». Cela n'empêche pas David Lafarge de s'indigner « qu'il y ait eu ce soir-là un policier frappé dans l'enceinte du stade qui doit rester un lieu de fête ».Les supporteurs des Girondins ne sont pas connus pour être excessifs, bien au contraire, et il est très rare que l'un d'entre eux se trouve confronté à des ennuis judiciaires. « Tout cela parce que nous entretenons des rapports de partenariat avec le club », explique Albert Doutre qui souligne que, quoi que devienne la procédure, « et si le prévenu devait être relaxé il pourrait néanmoins se voir frappé par une interdiction administrative de stade ».
Plainte contre X. L'Ultra affirme avoir voulu apaiser les tensions lors de l'intervention policière à la mi-temps de Bordeaux-Saint-Etienne. Il réfute les accusations portées à son encontre et a même déposé une plainte contre X, la semaine dernière, pour « dénonciation calomnieuse et atteinte à la présomption d'innocence ».« Un policier blessé, ce n'est jamais banal », constate, le ton amer, le directeur départemental de la sécurité publique. « Un quart de nos effectifs fait l'objet de blessures dans l'exercice de ses fonctions. C'est un métier qui paye un lourd tribut à la sécurité ».
SOLIDARITÉ AVEC LES ULTRAMARINES BORDEAUX
BETI ZUEKIN
ERREPRESIORIK EZ!!!
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